Christine Gavalda-Moulenat

30 mai 2022

Liberté d’Expression

Christine Gavalda-Moulenat, Présidente du Parti « Les Républicains » dans le département des Pyrénées Orientales, Candidate à Perpignan de la Droite Républicaine

Tags : Cercle Gaulliste de Réflexion Politique et Sociale, Association AMICIS, Place Vauban Paris 7ème, Droite Républicaine, Élections Législatives de Juin 2022, Gersende Administratrice Déléguée de l’AMICIS, 

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Législatives de juin 2022 – Pyrénées Orientales – Perpignan

30 mai 2022

Liberté d’expression

Christine Gavalda-Moulenat

Dimanche 13 octobre 2019, ceux d’entre nous qui votent chez les Républicains, choisiront Julien Aubert !

9 octobre 2019

Dimanche prochain, le 26 mai, pour les Européennes, Gersende, politologue à Paris, nous explique pourquoi il faut voter pour les Républicains

24 mai 2019

« Peu importe que la Liste du R.N. ou celle de la REM arrive en tête dimanche. S’il y a 60% d’abstentionnistes et qu’une liste atteint 20% de voix, elle ne représentera environ que 8 français sur 100. La belle affaire ! Si quelqu’un pense que c’est l’un de ces deux partis qui va changer l’Europe, il se met le doigt dans l’oeil ! Voter Macron pour contrer Marine, ou voter Marine pour contrer Macron, et vous serez l’otage de ces deux partis qui ensemble ont truqué le match et se foutent de vous. Et si jamais vous faites  partie de ces électeurs qui en font une affaire de débat national, alors il est inutile que vous lisiez la suite de mon texte.

Voter pour l’une de ces deux listes ne changera rien dans la mesure où les députés de ces deux formations seront marginalisés. Chaque pays va envoyer des représentants de 5,6,7 ou 8 de ses propres partis politiques. On multiplie par 28 pays (puisque les Britanniques vont même voter). On pourrait arriver à un total de près de 200 mouvements politiques différents (ou plus)  qui vont se retrouver à Bruxelles. Vous imaginez un Parlement avec 200 partis ? Ces partis nationaux vont se regrouper en une douzaine de Partis Européens parfois disparates et ne reflétant pas toujours les idées de ceux qui les ont élus. Et ils vont faire des alliances, des coalitions éphémères ou durables, des combinaisons et des compromissions.  Car seule une coalition forte et majoritaire peut gouverner. Jusqu’ici on avait une alliance entre la Droite et la Gauche modérées. Qui avait la majorité absolue. A l’avenir qu’en sera t’il ? L’important étant de se retrouver à l’intérieur de la coalition dominante  et d’y avoir du poids. Sinon on ne fait que de la figuration. C’est bien l’enjeu de ce scrutin de dimanche. Mais ce n’est pas en votant pour l’une de ces deux listes que vous ferez changer les choses à Bruxelles. Alors que c’est le souhait des Français de voir l’Europe se réformer sans pour autant éclater ! Et vous pourriez faire davantage bouger les lignes en votant pour une liste qui en France ne dépassera pas les 10% mais qui est crédible au niveau Européen. « Les Républicains » feront plus de 10% dimanche et leur voix compte à Bruxelles quand les députés du FN, arrivés pourtant les premiers en France en 2014, n’ont jamais pu exister.

Les Verts à Bruxelles, qui avaient un jour un pied dans la coalition dominante, et le lendemain un pied au dehors, sont ceux qui auront le mieux défendus le climat, ce qu’il y a dans nos assiettes, et la transition écologique. Sans être entendus. Ils auront été ceux qui bossaient le plus lorsque tant de députés à Bruxelles ne font que de la figuration, embauchent copains et amis comme assistants parlementaires pour leur trouver une place au chaud,  et attendent le jour de la paye. Mais lorsqu’on a écouté les Verts et leur discours pertinent, que l’on commence à être séduits,  et que soudain ils nous expliquent qu’il faut faire de l’Europe la terre d’asile pour le reste du monde, notre enthousiasme retombe comme un soufflé raté. Quel dommage! Quelle folie ! Pourquoi sont ils obligés de mélanger écologie et marxisme ? A moins qu’ils n’imaginent encore que le Rideau de Fer était le meilleur rempart contre la pollution. Comme le nuage de Tchernobyl qui s’était arrêté – nous avait t’on dit – à nos frontière !?

Pour le deuxième tour des Présidentielles, j’étais restée à la maison. Je pressentais ce qui allait arriver. Vous pouvez me relire. Mais c’est aussi mon job que d’essayer de prévoir ! J’écrivais que avant deux années du mandat de ce nouveau Président, une partie de ces Français qu’on marginalise serait dans la rue. (qu’ils portent un gilet jaune ça je ne l’avais prédit). Mais j’avais anticipé que la majorité silencieuse des Français aurait – presque – envie de les rejoindre sur les ronds points. Que les classes moyennes auraient – presque – envie de les soutenir se sentant elles mêmes méprisées et dévalorisées par ce pouvoir d’amateurs.  Que les français moyens auraient – presque – envie de voter pour les extrêmes et les populistes. Pour les illusionnistes et les progressistes de bazar. Ces derniers étant les plus suffisants, les plus imbus d’eux mêmes, et donneurs de leçon en plus. Ce progressisme en arrive à nous donner la nausée. Comme chantait Souchon : « c’est bidon ».  Comme j’aimerai pouvoir dire aujourd’hui que je m’étais trompée dans mes prévisions ? Mais la réalité est pire que ce que mon pessimisme me faisait entrevoir. Et l’avenir est peut être encore plus sombre que je ne l’imagine !

Moi, dimanche, j’irai voter. Je voterai pour les Républicains. Le meilleur choix selon moi dans le contexte actuel. Dans l’isoloir, chacun évidemment, fera selon son coeur. Et chaque voix est respectable. Mais essayez d’éviter de vous faire pièger avec ce duel diabolique entre ces deux listes RN et LREM. Ils se sont entendus comme larrons en foire  pour nous faire tomber dans le panneau. Ne nous y trompons pas,  ne soyons pas naifs, car ces gens là nous prennent pour des imbéciles. La France ne mérite elle pas mieux ? Ne méritons nous pas mieux ?

Mais vous êtes sans doute de ceux qui sont plus intelligents que cela pour ne pas tomber à pieds joints dans ce piège grossier !

Affectueusement à tous,

Gersende, à Paris, le 24 mai 2019, pour mes amis bretons, parisiens ou ch’tis. Pour ceux des ardennes, ceux des P.O., de la région PACA, et tous les autres.

Gersende vous recommande le livre de Bruno Retailleau  » Refondation »

30 mars 2019

Gersende, l’une de nos conseillères et notre amie, écrit :

Depuis des décennies, on assistait à un alternance régulière de la Droite et de la Gauche modérées. Se succédaient au pouvoir des partis dits « Républicains », ce qui ne sous-entend pas que les autres partis ne seraient pas respectueux de nos institutions, ou en marge de notre République.

J’ai commencé ma vie de modeste politologue comme stagiaire, fraîchement sortie de Sciences-Po, rattachée à un conseiller du dernier Président de Droite que l’on ait eu en ce nouveau siècle. Un Président de la République que j’ai plus souvent rencontré depuis lors, que du temps où j’étais censée être à son service. Que j’apprécie davantage en prenant un peu plus de recul. Et qui reste un rempart dans le tsunami que l’on traverse.  Il avait fait entrer dans son gouvernement et à l’Élysée des personnalités de gauche. Et il se trouve que j’étais auprès de l’un deux qui m’a appris tellement de choses et qui est retourné à son ancien métier. J’ai appris ainsi à ne pas devenir sectaire et considérer que ce qui prime en politique sont la sincérité et l’honnêteté.

Faire cohabiter dans un même gouvernement des gens de Droite et de Gauche est le rêve de la plupart des Français qu’on interroge. Mais cela ne marche pas vraiment. Si cela n’avait pas été un échec, il ne s’agissait pas, à mes yeux, d’une franche réussite. Les français semblant aussi aimer que ce soit noir ou blanc, mais pas les deux comme en ce moment. Et le « en même temps » que nous vivons en ce moment est un naufrage.

Et puis en 2017, la Droite et la Gauche ont implosé. Par lassitude des citoyens pour ce perpétuel mouvement de balancier ? Ou pour d’autres raisons. Chacun a son explication, mais aucune ne fait vraiment le consensus.

Les Français ont choisi par la force des choses une autre voie. Ils ont élu un Président par défaut pour se préserver de la Droite Populiste. La Gauche n’a pas su se rassembler. La Droite Républicaine, et c’est heureux, ne veut pas se lier avec la Droite Populiste. Hélas, des personnalités de cette Droite Républicaine sont allés se vendre, sans vergogne, sans dignité, à ce nouveau Président, sans même connaître ses intentions sinon des propos que ce dernier considérait ne pas l’engager et ne pas être obligé de respecter. Ni sincérité, ni honnêteté !  Et espérons que ces déserteurs ne reviendront jamais vers nous car ils ne font plus partie, et pour toujours, de notre famille.

Depuis deux ans on vit les errements de ce nouveau pouvoir à la dérive, sans cap, sans âme, sans morale. Depuis 20 semaines on vit une crise sociale que ce nouveau pouvoir regarde avec arrogance et mépris. Démontrant également son incapacité à traiter les problèmes. A assurer notre sécurité. Une situation calamiteuse engendrée par des individus non moins calamiteux.

Les revendications des Gilets Jaunes sont loin d’être celles de la majorité des français. Ces gentilles personnes qui occupaient les ronds-points au début du mouvement ont cédé la place à des gens plus radicalisés. Et pourtant, lorsque ces personnes, qu’on n’aurait pas tellement envie d’inviter à venir  boire l’apéro chez soi, osent descendre dans la rue et manifester leur colère, on a l’impression qu’ils défendent en même temps nos propres revendications. Même si elles n’ont rien en commun.

Et pourtant ne nous faisons pas d’illusions. Le Droite que nous connaissons n’est pas à la veille de réinvestir le pouvoir. La gauche encore moins. De cela on ne peut se réjouir mais il en est ainsi. Et ce sont les extrêmes qui montent dans notre pays – comme dans toute l’Europe – et qui s’entendent comme des larrons en foire. En France, les populistes de tous bord, représentent aujourd’hui plus d’un tiers des citoyens. Et demain ? Et cette Europe des lobbies qui obéit aux dieux que sont l’Argent, le Glyphosate, et qui ouvre tout grand ses frontières aux migrants sans qualification et aux produits chinois, nous dégoûte un peu plus chaque jour. Mais le Brexit est il une meilleure voie ?

Restent les idées. Beaucoup des Français que je fréquente préfèrent rester attachés à leurs convictions plutôt qu’à des hommes que certains s’imaginaient providentiels. Et qu’importe si ce n’est pas notre camp qui est au pouvoir. Si on garde au moins notre dignité et le respect de nous mêmes !

Ne ratez pas le livre de Bruno Retailleau : Refondation. La Droite doit faire son bilan. Elle doit reconnaître ses erreurs comme ses réussites. Et mieux vaut être dans l’opposition si on reste fidèles à ses engagements plutôt que d’aller se commettre avec ceux qui ne méritent pas de nous diriger. Avec ceux dont l’incompétence, la vanité, l’arrogance nous mettent chaque jour un peu plus en danger.

Gersende, à Paris, le 23 mars 2019

Communiqué du Cercle gaulliste de réflexion politique et sociale (AMICIS)

13 décembre 2017

Nous félicitons le nouveau Président du Parti « Les Républicains » pour sa victoire sans appel.

Nous n’avions pas appelé à voter pour tel ou tel candidat à l’élection interne, qui ne nous concernait donc pas, d’un parti dont nous sommes totalement indépendants même si depuis de nombreuses années nous avions l’habitude de nous rallier, considérant que nous appartenons nous mêmes à la grande famille de la Droite Républicaine

Depuis que nous ne présentons plus de candidats aux grandes élections nationales, mais seulement à des élections municipales ou régionales, nous avons toujours soutenu – avec modestie car nous ne sommes plus tellement nombreux – les candidats présentés par la Droite ou le Centre. Et nous avons toujours combattu sans faiblir les extrêmes.

Nous ne sommes pas des défenseurs du « ni-ni » qui pour nous ne veut rien dire et lorsqu’un candidat de la Droite Républicaine ne se trouvait pas au deuxième tour d’une quelconque élection nous avons toujours prôné l’abstention et l’assumons sans regrets. C’est ainsi que nous vous avons appelé à vous abstenir lors du deuxième tour de la dernière élection Présidentielle.

Il n’était pas question de donner un chèque en blanc au candidat de cette République en Marche qui ne reflète ni de près ni de loin les valeurs du Gaullisme. Et nous n’admettrions pas qu’il s’en réclame sans que cela nous mette en colère. Son attitude lorsqu’il se rend à Alger est la preuve qu’il ne comprend pas les Français. Pire, qu’il ne les aime pas. Qu’il redresse le pays est tout ce que nous espérons et nous ne pouvons que souhaiter qu’il réussisse en ce sens.

Un Président de la République dont nous aimerions qu’il nous épargne ses bavardages généralement mal à propos. Tout comme nous ne supportons pas son entourage arrogant, prétentieux et suffisant qui sur bien des plans est loin d’être irréprochable. Rien n’a changé par rapport à ce que nous subissons depuis plusieurs décennies quant à la dérive morale, parfois l’affairisme et le clientélisme de nombre de nos élus et nous obligent à regretter le gaullisme. Et nous condamnerons sans appel n’importe quel responsable politique de n’importe quel parti qui n’aurait pas l’éthique que nous exigeons.

Nous ne cherchons plus à intervenir dans la vie politique et sommes devenus le plus souvent des spectateurs mais nous considérons que notre bulletin de vote en vaut bien un autre. Nous attendons de voir ce que le nouveau Parti Républicain va faire et nous positionnons comme de simples observateurs..

Nous saluons touts nos sympathisants et les remercions de leur soutien.

Et nous profitons de ce communiqué pour transmettre notre soutien à ceux de nos amis corses qui sont membres de notre Cercle, et en force dans notre mouvement si on tient compte de la faible population insulaire de cette partie intégrante de France. Nous n’avons pas oublié « le serment de Bastia » prononcé par ces corses qui durant la dernière guerre avaient manifesté leur volonté de rester Français et se sont engagés plus que d’autres dans la résistance et la libération de leur sol. Les sympathisants de notre Cercle n’ont pas voté dimanche dernier comme la majorité de leurs amis abusés par de belles paroles sans lendemain.

Et aussi longtemps que nous le pourrons et que vous nous soutiendrez, nous défendrons nos convictions gaullistes et républicaines.

Paris, le 13 décembre 2017

Le Secrétaire Général

Campagne Présidentielle 2017 : Communiqué du 10 avril

11 avril 2017

Communiqué du 10 avril 2017

Nous assistons à une campagne présidentielle un peu folle, résultant de l’erreur qu’était l’organisation d’une primaire ouverte à tous les vents, et selon nous une machine à perdre. Un point de vue que l’on aura exprimé bien longtemps avant son organisation. Et où bien peu d’entre nous, les Gaullistes se seront déplacés pour voter. Car pourquoi militer, cotiser à un parti, tracter, mouiller la chemise si son adversaire peut venir polluer SA primaire. De quoi être démobilisés. Nous ne le sommes pas pour autant.

Une primaire où les candidats se seront ingéniés à se trouver des différences, voire des antagonismes, et ce jusqu’à la caricature. Ce qui n’aura servi qu ‘à diviser la Droite Républicaine, alors qu’il fallait la rassembler comme lors de chaque élection Présidentielle. A moins de croire qu’il faudrait copier les erreurs des socialistes. Pour mieux leur ressembler ? Cela ne semble pas leur avoir mieux réussi.

Les Gaullistes de notre mouvement demandent qu’on arrête de les assaisonner à toutes les sauces pour les plus mauvaises raisons. Et qu’on les oublie un peu en cessant de faire référence à une période et à un homme. En galvaudant ses idées, ou en se réclamant indûment de lui, et ce de façon indigne.

La candidate du Front National démontre que son parti n’est en rien apaisé, que ses idées se réclament de celles de son père, et que cette dédiabolisation dont on nous rebat les oreilles n’était qu’une imposture. Le Général de Gaulle n’avait jamais considéré que la rafle au Veld’Hiv de 13 000 citoyens présumés juifs, dont la plupart ont fini dans les chambres à gaz, était un Détail de l’Histoire. Cette candidate tutoie l’inacceptable avec ses paroles inqualifiables qui ne cherchent qu’à attiser les haines et les peurs. Nous n’avons rien, vraiment rien de commun avec elle, et elle reste pour nous INFREQUENTABLE. Jamais nous ne pourrions mettre un bulletin à son  nom dans une urne, quelle que soient les circonstances.

Le Général de Gaulle, qui avait permis au communiste Maurice Thorez, réfugié à Moscou, de rentrer en France, avait prôné la réconciliation au sortir de la guerre, se montrant hostile à une épuration aveugle, et déclarant qu’il faudrait bien faire une paix durable avec l’Allemagne une fois qu’elle se serait débarrassée des nazis. Montrant ainsi sa volonté de rassembler.

Il aura écrit que la France, à l’époque, était à Londres et qu’il n’était pas question de faire l’amalgame avec un régime de Vichy hautement coupable, qui avait pactisé avec l’ennemi. RIEN DE PLUS. Quand Jacques Chirac, en 1995, avait tourné la page d’une façon qui nous paraissait définitive. Et avait montré également la nécessité de rassembler tous les citoyens. Car il ne faudrait pas confondre législatives et présidentielle, et celui qu’on élira doit être le Président de tous les Français.

C’était sans compter sur Madame Le Pen, sur Monsieur Macron qui nous a gravement déshonoré à Alger, sur Monsieur Dupont-Aignan qui parle sans savoir de ce qu’il ne connaît pas pour ne l’avoir jamais appris, et de beaucoup d’autres qui se référent au Gaullisme, par mode, ou par ce qu’ils s’imaginent que cela peut servir leurs petits intérêts méprisables. Combien de candidats se montrent ainsi toujours prêts à se réclamer d’une philosophie dont ils ne savent rien, qu’ils n’ont jamais comprise et ne comprendront jamais.

Le Général de Gaulle n’était pas un homme providentiel mais il avait simplement su fédérer autour de lui de nombreux français qui n’avaient pas toujours les mêmes idées. Le contraire de ce qui se passe en ce moment.

Paris, siège du Cercle, le 10 avril 2017

Au lendemain du deuxième tour de la primaire de la Droite et du Centre !

28 novembre 2016

Hervé ALOT-MATIGNON,  Secrétaire Général Adjoint écrit :

Au nom de tous les membres du Cercle gaulliste de réflexion politique et sociale, je me réjouis de l’organisation de cette Primaire.

Félicitations à François Fillon pour sa belle victoire. On sera derrière lui pour concrétiser celle de 2017 !

Amitiés à Alain Juppé et à nos amis de « FRANCE MODERNE ». Ils sont toujours et plus que jamais de la famille.

Amitiés à tous les candidats, à tous ceux qui n’ont pas pu y participer. Remerciements à tous nos compagnons qui sont allés donner un coup de main dans les bureaux de vote.

Rassurez vous, je n’oublierai pas de transmettre nos amicales salutations à Madeleine de Jessey !

A bientôt

l’AMICIS ou Cercle Gaulliste de réflexion politique et sociale change d’hébergeur !

4 septembre 2016

rentrée 2016

Notre site internet va changer d’hébergeur. Nous vous retrouverons bientôt sur notre site lorsque de nouvelles dispositions auront été prises courant novembre.

Notre Blog reste fidèle à WordPress.

A bientôt

Les gaullistes de l’AMICIS vous souhaitent une bonne et heureuse année 2016 !

1 janvier 2016

l'amicis vous souhaite bonne année

le 9 novembre 1970

9 novembre 2014

Charles_De_Gaulle

l’AMICIS et les municipales 2014

8 mars 2014

COMMUNIQUE

Les Gaullistes historiques de l’AMICIS, Cercle gaulliste de réflexion politique et sociale, partagent de moins en moins d’idées et de valeurs avec les partis qui brigueront vos suffrages lors des municipales de Mars.

Notre famille la plus proche est néanmoins la Droite Républicaine, et nous avons accepté de figurer, lorsque nous étions sollicités, sur des listes UMP, UDI, Nouveau Centre, Radicaux de Droite, à l’exclusion du Front National ou d’un parti de gauche.

Nous avons accepté de rejoindre des listes de Droite, lorsque nous avions des affinités ou lorsque nous estimions que le chef de file ou ses co-listiers étaient des hommes intègres et de haute valeur morale.

Nous n’avons rien négocié, rien demandé, rien imposé. A partir du moment où nous serons sur une liste nous respecterons notre chef de file, nous réservant le droit de nous abstenir si nous le jugeons nécessaire et donnerons notre avis sans en faire un motif de conflit mais sans accepter que l’on nous impose quoi que ce soit.

Nous aurons un peu moins d’une dizaine de candidats à Paris  et un peu plus en Province. (Bretagne, Alsace, Vendée, Pyrénées Orientales).

Prions pour le salut de la France, actuellement entre les mains des Hollando, Verdatro, Bolcheviks

Vive la république, vive la France

degaulle-photo

Bienvenue

30 avril 2013

L’AMICIS, Cercle gaulliste de réflexion politique et sociale,  vous souhaite la bienvenue !

mémorial charles de gaulle amicis